Beethoven; concerto pour violon et orchestre Op 61
- vendin
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Beethoven; concerto pour violon et orchestre Op 61
à tous.
Voici probablement l’œuvre, si ce n'est la plus connue, l'une des plus enregistrées de Beethoven et des concertos pour violon et orchestre en général, il faut dire qu'elle le mérite.
Ils y a de magnifiques enregistrements de cet Opus et je ne pourrai tous les citer, je vais parler des interprétations que je possède.
Il est intéressant de savoir qu'il y a encore des "Cadanza" dans ce concerto, c'est à dire un final de mouvement, ici le premier et le second, où il est prévu un solo de violon à la libre improvisation du violoniste, cette coutume a disparue peu après. Il y a eu depuis des Cadanzas écrite souvent par des violonistes et tellement bien en accord avec l’œuvre qu'elles sont reprises assez souvent, mais dans certains enregistrement les violonistes ont leur propre cadence ou en reprennent des moins connues que celle de Kreisler ou celle de Joachim. Cela permet d'avoir des version pas toute à fait identiques de l’œuvre.
J'ouvre le bal par la plus ancienne que je possède et aller vers les plus récentes, elle fait partie de mes deux préférées.
La version de Josef Wolfsthal et et l'orchestre de Berlin dirigé par Mandfred Gurlitt, un Grammophon allemand de 1929.
Ce n'est pas toujours évident de préciser ses goûts mais la, avec en plus le support qui aide c'est sûr, la beauté du jeu, la poésie et malgré peu être une petite concession à la virtuosité dans certains passages rapides c'est carrément sublime. L'extrait en lien permet d'en avoir un vague aperçu.
https://www.google.fr/url?sa=t&rct=j&q= ... CVWsum3n8w
Ce violoniste est malheureusement mort très jeune, à 31 ans, d'avoir contracté une pneumonie en allant en décembre à l'enterrement de l'un de ses amis, il devait décéder quelques semaines plus tard.
Une autre superbe interprétation avec un jeu très distingué est celle de Fritz Kreisler et Barbirolli.
https://www.google.fr/url?sa=t&rct=j&q= ... tLxADlJ0JA
La dernière version que j'ai en 78t est celle avec Henry Merckel, une très belle version par ce violoniste français méconnu du grand public, mais pas des amateurs.
Je ne désespère pas de trouver un jour l''interprétation de Joseph Szigeti et Bruno Walter en 78t mais elle existe dans le coffret CD Andante qui lui est consacré et que je ne saurai trop conseiller.
Pendant la guerre, un autre très grand violoniste autrichien exilé aux USA l'a enregistré, il s'agit D'adolf Busch, ce nom accolé à ce prénom serait difficile a porter aujourd'hui, mais en plus d'être un extraordinaire violoniste et fondateur du non moins extraordinaire quatuor qui porte son nom c'était quelqu'un aux antipodes de ce que l'on pourrait croire et alors qu'il était au sommet de la musique en Autriche, il à choisi de suivre son gendre Rudolphe Serkin qui était juif et obligé de s'exiler dans un pays ou l'administration n'a eut de cesse de le tracasser à cause de son origine. Son frère Fritz est à la direction.
https://www.google.fr/url?sa=t&rct=j&q= ... 8jyz7D0zEw
Après guerre, plusieurs grands violoniste l'ont enregistré, dont les interprétations sont presque toutes plus intéressantes les unes que les autres, et quand ils ne pouvaient le faire il arrive qu'il en reste des enregistrements de concerts. C'est la que l'on arrive à mon interprétation préférée, non par un mais une violoniste. Ginette Neveu a été saisie deux fois en concert et bien qu'étant superbes toutes les deux, la version avec Hans Rosbaud a un petit plus et je ne saurai en parler tant je reste sans voix à chaque foies que je l'écoute, tout y est à mon goût, même la cadence est celle que j'aime le plus.
https://www.google.fr/url?sa=t&rct=j&q= ... tA&cad=rja
Superbe version encore que celle de Yéhudi Ménuhin et de Furtwangler, la poésie du violoniste fait merveille.
L'original de cette gravure s'écoute avec une courbe de correction NAB
Une autre très belle interprétation est celle de Mischa Eman, sa générosité sonore y fait des merveilles.
la courbe d'écoute pour cette gravure est la CCIR
Années 50, plusieurs interprétations splendides ont marqué cette décennie par de grands violonistes.
En premier lieu Heifetz avec Munch chez RCA, interprétation très appréciée des mélomanes qui existe aussi en stéréo. Un peu axée virtuose à mon goût, mais virtuose de génie, c'est une belle interprétation.
Un autre grand qui l'a enregistré à maintes reprises, David Oïstrakh, ici accompagné par Sixten Ehrling chez Columbia ainsi que la version mémorable avec André Cluytens chez EMI.
Voici probablement l’œuvre, si ce n'est la plus connue, l'une des plus enregistrées de Beethoven et des concertos pour violon et orchestre en général, il faut dire qu'elle le mérite.
Ils y a de magnifiques enregistrements de cet Opus et je ne pourrai tous les citer, je vais parler des interprétations que je possède.
Il est intéressant de savoir qu'il y a encore des "Cadanza" dans ce concerto, c'est à dire un final de mouvement, ici le premier et le second, où il est prévu un solo de violon à la libre improvisation du violoniste, cette coutume a disparue peu après. Il y a eu depuis des Cadanzas écrite souvent par des violonistes et tellement bien en accord avec l’œuvre qu'elles sont reprises assez souvent, mais dans certains enregistrement les violonistes ont leur propre cadence ou en reprennent des moins connues que celle de Kreisler ou celle de Joachim. Cela permet d'avoir des version pas toute à fait identiques de l’œuvre.
J'ouvre le bal par la plus ancienne que je possède et aller vers les plus récentes, elle fait partie de mes deux préférées.
La version de Josef Wolfsthal et et l'orchestre de Berlin dirigé par Mandfred Gurlitt, un Grammophon allemand de 1929.
Ce n'est pas toujours évident de préciser ses goûts mais la, avec en plus le support qui aide c'est sûr, la beauté du jeu, la poésie et malgré peu être une petite concession à la virtuosité dans certains passages rapides c'est carrément sublime. L'extrait en lien permet d'en avoir un vague aperçu.
https://www.google.fr/url?sa=t&rct=j&q= ... CVWsum3n8w
Ce violoniste est malheureusement mort très jeune, à 31 ans, d'avoir contracté une pneumonie en allant en décembre à l'enterrement de l'un de ses amis, il devait décéder quelques semaines plus tard.
Une autre superbe interprétation avec un jeu très distingué est celle de Fritz Kreisler et Barbirolli.
https://www.google.fr/url?sa=t&rct=j&q= ... tLxADlJ0JA
La dernière version que j'ai en 78t est celle avec Henry Merckel, une très belle version par ce violoniste français méconnu du grand public, mais pas des amateurs.
Je ne désespère pas de trouver un jour l''interprétation de Joseph Szigeti et Bruno Walter en 78t mais elle existe dans le coffret CD Andante qui lui est consacré et que je ne saurai trop conseiller.
Pendant la guerre, un autre très grand violoniste autrichien exilé aux USA l'a enregistré, il s'agit D'adolf Busch, ce nom accolé à ce prénom serait difficile a porter aujourd'hui, mais en plus d'être un extraordinaire violoniste et fondateur du non moins extraordinaire quatuor qui porte son nom c'était quelqu'un aux antipodes de ce que l'on pourrait croire et alors qu'il était au sommet de la musique en Autriche, il à choisi de suivre son gendre Rudolphe Serkin qui était juif et obligé de s'exiler dans un pays ou l'administration n'a eut de cesse de le tracasser à cause de son origine. Son frère Fritz est à la direction.
https://www.google.fr/url?sa=t&rct=j&q= ... 8jyz7D0zEw
Après guerre, plusieurs grands violoniste l'ont enregistré, dont les interprétations sont presque toutes plus intéressantes les unes que les autres, et quand ils ne pouvaient le faire il arrive qu'il en reste des enregistrements de concerts. C'est la que l'on arrive à mon interprétation préférée, non par un mais une violoniste. Ginette Neveu a été saisie deux fois en concert et bien qu'étant superbes toutes les deux, la version avec Hans Rosbaud a un petit plus et je ne saurai en parler tant je reste sans voix à chaque foies que je l'écoute, tout y est à mon goût, même la cadence est celle que j'aime le plus.
https://www.google.fr/url?sa=t&rct=j&q= ... tA&cad=rja
Superbe version encore que celle de Yéhudi Ménuhin et de Furtwangler, la poésie du violoniste fait merveille.
L'original de cette gravure s'écoute avec une courbe de correction NAB
Une autre très belle interprétation est celle de Mischa Eman, sa générosité sonore y fait des merveilles.
la courbe d'écoute pour cette gravure est la CCIR
Années 50, plusieurs interprétations splendides ont marqué cette décennie par de grands violonistes.
En premier lieu Heifetz avec Munch chez RCA, interprétation très appréciée des mélomanes qui existe aussi en stéréo. Un peu axée virtuose à mon goût, mais virtuose de génie, c'est une belle interprétation.
Un autre grand qui l'a enregistré à maintes reprises, David Oïstrakh, ici accompagné par Sixten Ehrling chez Columbia ainsi que la version mémorable avec André Cluytens chez EMI.
Pascal.
- vendin
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Re: Beethoven; concerto pour violon et orchestre Op 61
Un autre grand violoniste Russe que j'apprécie particulièrement l'a aussi gravé à plusieurs reprises, il s'agit de Léonid Kogan, ici avec Kondrashine et Silvestri.
Nathan Milstein l'a moins enregistré, néanmoins son interprétation de chez Capitol avec William Steinberg est pleine de charme et avec une cadanza moins connue qui lui est personnelle.
Courbe AES
Un peu plus tardive cette interpétation de Charles Cyroulnik, le violoniste pas le psy, et Pierre Dervaux. Ce disque peu courant a été un peu chassé par les collectionneurs à une époque, je le qualifierai d'intéressant.
Beaucoup plus tardive cette version par Josef Suk et Frantz Konwitschny chez Supraphon, qui est à mes yeux extraordinaire avec une charge émotionnelle très forte, à la porte de mon club des deux pour en faire un club des trois, ou 4 avec Busch.
https://www.google.fr/url?sa=t&rct=j&q= ... TcdpL0Tisw
Par chance cette version est facilement trouvable sur le net et pour pas très cher.
Une autre interprétation que j'affectionne tout particulièrement est celle captée lors d'un concert à Bruxelles avec Philippe Hirshhorn au violon et l'orchestre national de Belgique dirigé par Ronald Zollman.
C'est un violoniste Russe, lauréat du concourt Queen Elisabeth en 1967 et qui a vécu en Belgique à partir de là.
C'est un dialogue intimiste entre le soliste et le compositeur, on a la sensation très bizarre d'être un peu comme un intrus "écouteur", c'est superbe.
Très belle version aussi que celle de Hilary Hahn qui à moins de vingt ans fait preuve d'une maturité impressionnante.
Nathan Milstein l'a moins enregistré, néanmoins son interprétation de chez Capitol avec William Steinberg est pleine de charme et avec une cadanza moins connue qui lui est personnelle.
Courbe AES
Un peu plus tardive cette interpétation de Charles Cyroulnik, le violoniste pas le psy, et Pierre Dervaux. Ce disque peu courant a été un peu chassé par les collectionneurs à une époque, je le qualifierai d'intéressant.
Beaucoup plus tardive cette version par Josef Suk et Frantz Konwitschny chez Supraphon, qui est à mes yeux extraordinaire avec une charge émotionnelle très forte, à la porte de mon club des deux pour en faire un club des trois, ou 4 avec Busch.
https://www.google.fr/url?sa=t&rct=j&q= ... TcdpL0Tisw
Par chance cette version est facilement trouvable sur le net et pour pas très cher.
Une autre interprétation que j'affectionne tout particulièrement est celle captée lors d'un concert à Bruxelles avec Philippe Hirshhorn au violon et l'orchestre national de Belgique dirigé par Ronald Zollman.
C'est un violoniste Russe, lauréat du concourt Queen Elisabeth en 1967 et qui a vécu en Belgique à partir de là.
C'est un dialogue intimiste entre le soliste et le compositeur, on a la sensation très bizarre d'être un peu comme un intrus "écouteur", c'est superbe.
Très belle version aussi que celle de Hilary Hahn qui à moins de vingt ans fait preuve d'une maturité impressionnante.
Pascal.
Re: Beethoven; concerto pour violon et orchestre Op 61
Une présentation qui devrait faire arriver Charles !
Écoutons sans œillères.
Georges
Georges
- Grievousangel
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Re: Beethoven; concerto pour violon et orchestre Op 61
Pascal, Tu m'as donné envie d'écouter ce concerto, je vais rechercher dans mes classiques les versions de ce concerto pour violon et orchestre Op 61 que je possèderais ...
Robert
Il vaut mieux qu'il pleuve aujourd'hui plutôt qu'un jour où il fait beau.
Il vaut mieux qu'il pleuve aujourd'hui plutôt qu'un jour où il fait beau.
- vendin
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Re: Beethoven; concerto pour violon et orchestre Op 61
Merci Robert, c'est gentil, tu nous diras quelle version tu as.
Pascal.
Re: Beethoven; concerto pour violon et orchestre Op 61
Magnifique collection Pascal !
Peu de gens possèdent de telles raretés.
De celles présentées je connais les versions Menuhin, Heifetz, Kogan et Milstein disponibles en écoute chez Discmuseum.
Parmi les 17 versions que propose ce fournisseur de musique en ligne, et après plusieurs mois de comparaison attentive c'est sans doute la version Kogan/Silvestri que je préfère mais beaucoup d'autres versions « historiques » méritent une écoute attentive comme celle de Francescatti/Walter par exemple.
Pour les interprétations plus récentes, la version d'Isaac Perlman/ Giulini m'a longtemps accompagnée, avec la magnifique version de maxime Vengerov/Rostropovich.
Les dames ne sont pas en reste. Sur les traces de Ginette Neveu puis d'Anne Sophie Mutter en 1979 (qui remporte une écoute comparative de la Tribune des critiques sur France musique en septembre 2016), Isabelle Faust et surtout l'étonnante Hilary Hahn ne cessent de me ravir.
L'immense premier mouvement (le plus long des mouvements de Beethoven après le final de la 9° symphonie) est à lui seul un chef d’œuvre. Sa forme sonate se prête à ce magnifique développement d'environ 25 mn suivant les versions , incluant effectivement une « cadence » dont la spécificité est fort bien résumée par Pascal, comme dans le rondo final et non dans le larghetto.
Afin de mieux appréhender ce mouvement, voici un extrait de l'ouvrage de Michel Lecompte sur la musique symphonique de Beethoven. Ce système d'analyse graphique permet aux mélomanes non musiciens de suivre et de comprendre l'architecture de l'ouvrage.
http://vintage-audio-heritage.fr/downlo ... 888fdb6e20
Peu de gens possèdent de telles raretés.
De celles présentées je connais les versions Menuhin, Heifetz, Kogan et Milstein disponibles en écoute chez Discmuseum.
Parmi les 17 versions que propose ce fournisseur de musique en ligne, et après plusieurs mois de comparaison attentive c'est sans doute la version Kogan/Silvestri que je préfère mais beaucoup d'autres versions « historiques » méritent une écoute attentive comme celle de Francescatti/Walter par exemple.
Pour les interprétations plus récentes, la version d'Isaac Perlman/ Giulini m'a longtemps accompagnée, avec la magnifique version de maxime Vengerov/Rostropovich.
Les dames ne sont pas en reste. Sur les traces de Ginette Neveu puis d'Anne Sophie Mutter en 1979 (qui remporte une écoute comparative de la Tribune des critiques sur France musique en septembre 2016), Isabelle Faust et surtout l'étonnante Hilary Hahn ne cessent de me ravir.
L'immense premier mouvement (le plus long des mouvements de Beethoven après le final de la 9° symphonie) est à lui seul un chef d’œuvre. Sa forme sonate se prête à ce magnifique développement d'environ 25 mn suivant les versions , incluant effectivement une « cadence » dont la spécificité est fort bien résumée par Pascal, comme dans le rondo final et non dans le larghetto.
Afin de mieux appréhender ce mouvement, voici un extrait de l'ouvrage de Michel Lecompte sur la musique symphonique de Beethoven. Ce système d'analyse graphique permet aux mélomanes non musiciens de suivre et de comprendre l'architecture de l'ouvrage.
http://vintage-audio-heritage.fr/downlo ... 888fdb6e20
- vendin
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Re: Beethoven; concerto pour violon et orchestre Op 61
Bonsoir Charles.
Merci pour toutes ces précisions et informations.
J'ai encore quelques versions à mettre, dont celle de Hilary Hahn qui est effectivement très belle aussi de mon point de vue , surtout au regard de son age quand elle l'a gravé, Perlman j'ai plus de mal, le souvenir que j'en ai est que c'est très décomposé comme jeu mais il faudrait que le ré-écoute par contre dans Brahms avec Guilini je le trouve très bien et surtout dans les deux disques qu'il a fait avec des groupes Klezmers, Francescatti Walter je connais mais ne l'ai pas, j'en ai un bon souvenir.
Les versions exposées ici sont loin d'être les seules, il y a je ne sais combien d'enregistrements de cette œuvre, il y a encore Bézrodny en URSS que j'aimerai bien trouver et tant d'autres, Stern etc... Impossible de toutes les connaitre et surtout de les écouter.
Merci pour toutes ces précisions et informations.
J'ai encore quelques versions à mettre, dont celle de Hilary Hahn qui est effectivement très belle aussi de mon point de vue , surtout au regard de son age quand elle l'a gravé, Perlman j'ai plus de mal, le souvenir que j'en ai est que c'est très décomposé comme jeu mais il faudrait que le ré-écoute par contre dans Brahms avec Guilini je le trouve très bien et surtout dans les deux disques qu'il a fait avec des groupes Klezmers, Francescatti Walter je connais mais ne l'ai pas, j'en ai un bon souvenir.
Les versions exposées ici sont loin d'être les seules, il y a je ne sais combien d'enregistrements de cette œuvre, il y a encore Bézrodny en URSS que j'aimerai bien trouver et tant d'autres, Stern etc... Impossible de toutes les connaitre et surtout de les écouter.
Pascal.
Re: Beethoven; concerto pour violon et orchestre Op 61
Charles est de retour
Écoutons sans œillères.
Georges
Georges
Re: Beethoven; concerto pour violon et orchestre Op 61
J'ai découvert ce concerto avec la version Perlman/Guilini,
il y a deux ans j'ai trouvé sur support vinyle celles de Heifetz/Münch et Oistrakh/Cluytens j'écoute en ce moment cette dernière ( un serin cini dehors à l'air d'apprécier aussi ).
Je n'ai pas de préférence ...
Corinne