R.I.P. (Really Gone)
- pvphil
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Re: R.I.P. (Really Gone)
Bin et voila, Lee Konitz, encore un grand qui nous quitte
Philippe 88 notes et Jazz , Bossa , Nougaro, Kompas...
Re: R.I.P. (Really Gone)
[quote=pvphil post_id=129586 time=1587118499 user_id=71]
Bin et voila, Lee Konitz, encore un grand qui nous quitte
Rip
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Corinne
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Re: R.I.P. (Really Gone)
Emmanuel
Celui qui parle sème ,celui qui écoute récolte . proverbe persan
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Re: R.I.P. (Really Gone)
Le covid a poursuivi son oeuvre macabre le 17 avril avec Matthew Seligman, bassiste au CV impressionnant et complice de Thomas Dolby.
Il a, entre autres, fait partie des groupes Bruce Woolley and the Camera Club, The Soft Boys, Thompson Twins... et a aussi été sideman d'artistes prestigieux dont notamment David Bowie.
R.I.P. Matthew.
-> Bruce Woolley and The Camera Club - English Garden ©1979
Pour l'anecdote, cet album contient un titre qui deviendra un tube planétaire... mais dans la version interprétée par les autres auteurs de cette chanson.
"Video Killed The Radio Star", de Bruce Woolley & The Camera Club (UK)
Il a, entre autres, fait partie des groupes Bruce Woolley and the Camera Club, The Soft Boys, Thompson Twins... et a aussi été sideman d'artistes prestigieux dont notamment David Bowie.
R.I.P. Matthew.
-> Bruce Woolley and The Camera Club - English Garden ©1979
Pour l'anecdote, cet album contient un titre qui deviendra un tube planétaire... mais dans la version interprétée par les autres auteurs de cette chanson.
"Video Killed The Radio Star", de Bruce Woolley & The Camera Club (UK)
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Re: R.I.P. (Really Gone)
tous
Je reviens sur la disparition de Christophe il y a quelques jours, je m'y attendais mais ça m'a quand même fait un choc
Je suis tombé sur cet hommage, qui rend aussi hommage à son interprète
A regarder/écouter jusqu'au bout
Je reviens sur la disparition de Christophe il y a quelques jours, je m'y attendais mais ça m'a quand même fait un choc
Je suis tombé sur cet hommage, qui rend aussi hommage à son interprète
A regarder/écouter jusqu'au bout
Laurent
Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme. Lavoisier
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Re: R.I.P. (Really Gone)
Encore une disparition
Encore une pour le plaisir
Encore une pour le plaisir
Laurent
Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme. Lavoisier
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Re: R.I.P. (Really Gone)
Le musicien et chanteur nigérian Tony Allen, "l’homme qui joue comme cinq batteurs" selon son illustre compatriote Fela Anikulapo Kuti, est mort hier jeudi 30 avril à l’âge de 79 ans à l’hôpital Georges Pompidou après un malaise cardiaque survenu chez lui à Courbevoie, en région parisienne.En guise d’hommage à Tony Allen,.
Voici 5 albums à écouter
1- Jealousy- Avec Africa 70 (1975)
Avant de quitter Felt Kuti en 1978 pour créer sa propre formation « Tony Allen & the Afro Messengers », le batteur et arrangeur réalise quelques albums solo avec le groupe Africa 70, dont cet album inclassable qui contient Hustler ce petit bijou swinguant qui a fait danser différents mondes dans différentes nuits, jusqu’à dans sa version disco concoctée par Mad Rey and Monsieur Scott.
2- PROGRESS? Avec Africa 70 (1979)
Au début des années 60, Tony Allen et son ami Fela Kuti accomplissent un voyage initiatique en Amérique en proie aux revendications sociales et aux combats pour les droits civiques. En même temps qu’ils découvrent les musiques populaires des afro-américaines, ils y font leur apprentissage politique avec Martin Luther King, Malcolm X. Cette prise de conscience est revendiqué par l’Afro-beat: textes engagés sur des rythmes électriques. Progress? s’écoute comme un manifeste.
3- Black Voices. Tony Allen (1999)
Pour le label électro Comet Record, fondé par deux jeunes Frenchies, et sous les auspices de Doctor L- Tony Allen enregistre un album étonnant, réinterprétant les bases de l’Afro-beat au son du dub jamaïquain, les boucles hypnotiques font de cet album expérimental le disque le plus halluciné et le plus hallucinant de son époque.
4- A tribute to Art Blackey and the jazz messengers. Tony Allen (2017)
Tony Allen a attendu longtemps avant de rendre hommage au batteur de jazz américain Art Blakey, qu’il revendique comme son influence majeure. Album majeur enregistré dans le même label mythique d’Art Blakey, le batteur inventeur du hard bop : Blue Note, évidement.
5- Rejoice. Tony Allen et Hugh Masekela (2010)
Une rencontre dans un studio londonien entre deux grandes figures de l’afro-jazz. Le batteur nigérian Tony Allen meets le trompettiste sud-africain Hugh Masekela. Cet enregistrement est resté 10 ans dans les tiroirs de la maison de disque avant de sortir fin mars 2020. « L’été dernier, les bandes ont été exhumées par Nick Gold, à qui l’on doit la découverte des légendes du Buena Vista Social Club , le patron du label World Circuit a demandé à Allen de retravailler l’album, en gardant l’esprit minimaliste de ces sessions spontanées, et les quelques mots que les deux instrumentistes ont improvisés en 2010 : des paroles qui parlaient de l’espoir que suscitait l’élection d’Obama, des ghettos, ou de leur jeunesse » précise Elodie Maillot qui nous conseiller d’écouter ce disque dans un Culture-Maison publié à peine 2 jours avant le décès brutal de Tony Allen :
Voici 5 albums à écouter
1- Jealousy- Avec Africa 70 (1975)
Avant de quitter Felt Kuti en 1978 pour créer sa propre formation « Tony Allen & the Afro Messengers », le batteur et arrangeur réalise quelques albums solo avec le groupe Africa 70, dont cet album inclassable qui contient Hustler ce petit bijou swinguant qui a fait danser différents mondes dans différentes nuits, jusqu’à dans sa version disco concoctée par Mad Rey and Monsieur Scott.
2- PROGRESS? Avec Africa 70 (1979)
Au début des années 60, Tony Allen et son ami Fela Kuti accomplissent un voyage initiatique en Amérique en proie aux revendications sociales et aux combats pour les droits civiques. En même temps qu’ils découvrent les musiques populaires des afro-américaines, ils y font leur apprentissage politique avec Martin Luther King, Malcolm X. Cette prise de conscience est revendiqué par l’Afro-beat: textes engagés sur des rythmes électriques. Progress? s’écoute comme un manifeste.
3- Black Voices. Tony Allen (1999)
Pour le label électro Comet Record, fondé par deux jeunes Frenchies, et sous les auspices de Doctor L- Tony Allen enregistre un album étonnant, réinterprétant les bases de l’Afro-beat au son du dub jamaïquain, les boucles hypnotiques font de cet album expérimental le disque le plus halluciné et le plus hallucinant de son époque.
4- A tribute to Art Blackey and the jazz messengers. Tony Allen (2017)
Tony Allen a attendu longtemps avant de rendre hommage au batteur de jazz américain Art Blakey, qu’il revendique comme son influence majeure. Album majeur enregistré dans le même label mythique d’Art Blakey, le batteur inventeur du hard bop : Blue Note, évidement.
5- Rejoice. Tony Allen et Hugh Masekela (2010)
Une rencontre dans un studio londonien entre deux grandes figures de l’afro-jazz. Le batteur nigérian Tony Allen meets le trompettiste sud-africain Hugh Masekela. Cet enregistrement est resté 10 ans dans les tiroirs de la maison de disque avant de sortir fin mars 2020. « L’été dernier, les bandes ont été exhumées par Nick Gold, à qui l’on doit la découverte des légendes du Buena Vista Social Club , le patron du label World Circuit a demandé à Allen de retravailler l’album, en gardant l’esprit minimaliste de ces sessions spontanées, et les quelques mots que les deux instrumentistes ont improvisés en 2010 : des paroles qui parlaient de l’espoir que suscitait l’élection d’Obama, des ghettos, ou de leur jeunesse » précise Elodie Maillot qui nous conseiller d’écouter ce disque dans un Culture-Maison publié à peine 2 jours avant le décès brutal de Tony Allen :
Remember as far as everyone knows....
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Jean-Marc
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Jean-Marc