Sansui AU-555A Le sujet est résolu
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Re: Sansui AU-555A
L'AU-777D, c'est l' AU-777A mondial en version japonaise pure 100 Volts ! Je le crois.
Frédérick.
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Re: Sansui AU-555A
C'est plus qu'intéressant ça.
Je vais essayer d'en trouver davantage.
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L'urgent est fait, l'impossible est en cours, pour les miracles prévoir un délai...
Eric
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Re: Sansui AU-555A
Bonne idée Eric .Oupol a écrit : ↑16 juil. 2017, 11:46 Bonjour,
Toutes ces précisions me donnent envie de regrouper les informations et de créer un sujet d'index spécifique à cette série
dans lequel je regrouperai les info concernant la série pour n'avoir ici que des éléments relatifs à l'AU 555A.
Donc ne vous offusquez pas si vous constatez que des bouts de messages ou messages entiers disparaissent.
Ce sera parce qu'ils sont déplacés dans le sujet d'index
♫♫♫♫ "Music was my first love and it would be my last..." ♫♫♫♫
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Re: Sansui AU-555A
Bonjour à tous,
Comme je le disais précédemment sur ce fil, j’ ai eu la chance de rencontrer quelques dizaines d’ exemplaires de l’ ampli – préampli intégré transistorisé Sansui AU-555A, et d’ après leurs numéros de série il apparaît que ceux là aient tous été produits entre Juin 1970 et Août 1973. Forcément il a du y avoir des unités produites avant et après ces dates, à vous de nous dire de quand est daté votre appareil en particulier s’ il est en dehors de cette fourchette ( le 3° chiffre du numéro de série donne l’ année, les 4 et 5° le mois ).
L’ AU-555A avec ses camarades de seconde génération ( AU-666, premier ampli de la marque avec étage de sortie à transistors complémentaires, et AU-888 ) tranche esthétiquement avec les appareils de première génération. Le coffret bois se généralise pour tout le monde et n’ est plus une option comme auparavant. Les boutons toujours en aluminium massif sont désormais entièrement de la couleur naturelle de ce matériau. Seuls les cabochons des basculeurs ont un peu de plastique invisible en leur centre, sûrement pour assurer une bonne liaison avec la tige de commande du basculeur. Les sérigraphies de façade restent gravées dans la masse de la façade aluminium anodisée noir ( ce qui ne sera déjà plus le cas sur les série suivantes AU-6500-7500-8500-9500 ). Et les façades profilées sont parées d’ épais barreaux en alu brossé qui rappellent la couleur des commandes.
Deux versions du coffret bois ont existées sur l’ AU-555A, avec des ouies de refroidissement différentes, voir images ci-dessous.
Ci-dessous une image de groupe montrant un quatuor d’ AU-555A en compagnie de leur grand frère l’ AU-666 à couplage direct, et d’ une paire de chacun de ses ancêtres les AU-222 et AU-555. L’ on voit bien que sans être beaucoup plus large que l’ AU-555, l’ AU-555A est relativement plus haut, et apparaît de suite comme plus imposant.
Voici une image montrant un AU-555 de première génération avec son option coffret bois, en train de se confronter à l’ AU-555A sur une paire d’ enceintes Cabasse Sampan 311, qui font d’ ailleurs excellent ménage avec ces amplis d’ un autre temps.
Annoncé comme un poil plus puissant que son ancêtre l’ AU-555 tout court premier du nom de première génération, l’ AU-555A est donné par le constructeur pour une puissance de 2 x 25 Watts efficaces sous 8 Ohms. Pourtant la tension d’ alimentation dans l’ AU-555 est déjà de + 54V contre seulement + 56V dans l’ AU-555A, ce qui est fort comparable finalement pour une puissance annoncée plus différenciée : 2 x 20 vs 2 x 25 ! Il y aurait donc d’ autres paramètres qui entreraient en ligne de compte … ou déjà les constructeurs commençaient ils déjà à annoncer plus facilement des Watts ?
Voici ci-dessous la plaquette commerciale d’ époque en anglais, avec les principales caractéristiques et autres arguments de vente …
L’ AU-555A appartient dans mon esprit à la seconde génération d’ intégrés transistorisés de la marque, avec les AU-666 et AU-888. Toutefois son étage de puissance, comme ses ancêtres AU-222, AU-555, et AU-777, reste à couplage capacitif. C’ est à dire que son alimentation est simple, + 56V par rapport à la masse, et donc au milieu du push-pull de transistors de puissance ( toujours rencontré que des Hitachi 2SC1030 dans les AU-555A ) l’ on récupère une petite moitié de cette tension, qu’ il convient d’ éliminer pour pouvoir y raccorder une enceinte, ce sera le rôle du gros condensateur de sortie : éliminer la tension continue et conduire le signal alternatif, la musique, vers l’ enceinte. Cette conception capacitive montre des limites aux fréquences extrêmes, avec des signaux carrés fortement déformés dans l’ extrême grave, des temps de montée plus longs aux fréquences extrêmes aigues … oui, mais qu’ en est il à l’ écoute ? Et bien cela à défaut d’offrir la meilleure dynamique, ou la meilleure articulation dans le bas, donne une grande chaleur à la restitution, avec de la matière, de la fluidité, ce qui conviendra mieux à des enceintes claires, rapides, et à bon rendement, comme d’ une manière générale les Cabasse, les Klipsch, les Altec, les HPs large bande tel le Supravox, les Fertin … m’ enfin j’ ai aussi été surpris récemment en préférant un AU-555A à un AU-999 sur une paire de clones de Rogers LS3/5A au rendement quasi catastrophique !
En interne, l' on retrouve quelques similitudes architecturales avec son ainé l' AU-555 premier du nom : capots de blindage pour la section préampli à l' avant et pour les entrées/sorties bas niveau à l' arrière, face arrière aluminium profilée servant aussi de dissipateur thermique aux transistors de puissance, carte Phono au plus près du sélecteur de source, transfo blindé, 4 condensateurs de filtrage comme sous dimensionnés montés sur colliers, carte ampli en position centrale ... mais les similitudes s' arrêtent là : bien que proches, le schéma des circuits, que ce soit étage Phono, préampli, ou ampli, sont différents.
A suivre …
Frédérick.
Comme je le disais précédemment sur ce fil, j’ ai eu la chance de rencontrer quelques dizaines d’ exemplaires de l’ ampli – préampli intégré transistorisé Sansui AU-555A, et d’ après leurs numéros de série il apparaît que ceux là aient tous été produits entre Juin 1970 et Août 1973. Forcément il a du y avoir des unités produites avant et après ces dates, à vous de nous dire de quand est daté votre appareil en particulier s’ il est en dehors de cette fourchette ( le 3° chiffre du numéro de série donne l’ année, les 4 et 5° le mois ).
L’ AU-555A avec ses camarades de seconde génération ( AU-666, premier ampli de la marque avec étage de sortie à transistors complémentaires, et AU-888 ) tranche esthétiquement avec les appareils de première génération. Le coffret bois se généralise pour tout le monde et n’ est plus une option comme auparavant. Les boutons toujours en aluminium massif sont désormais entièrement de la couleur naturelle de ce matériau. Seuls les cabochons des basculeurs ont un peu de plastique invisible en leur centre, sûrement pour assurer une bonne liaison avec la tige de commande du basculeur. Les sérigraphies de façade restent gravées dans la masse de la façade aluminium anodisée noir ( ce qui ne sera déjà plus le cas sur les série suivantes AU-6500-7500-8500-9500 ). Et les façades profilées sont parées d’ épais barreaux en alu brossé qui rappellent la couleur des commandes.
Deux versions du coffret bois ont existées sur l’ AU-555A, avec des ouies de refroidissement différentes, voir images ci-dessous.
Ci-dessous une image de groupe montrant un quatuor d’ AU-555A en compagnie de leur grand frère l’ AU-666 à couplage direct, et d’ une paire de chacun de ses ancêtres les AU-222 et AU-555. L’ on voit bien que sans être beaucoup plus large que l’ AU-555, l’ AU-555A est relativement plus haut, et apparaît de suite comme plus imposant.
Voici une image montrant un AU-555 de première génération avec son option coffret bois, en train de se confronter à l’ AU-555A sur une paire d’ enceintes Cabasse Sampan 311, qui font d’ ailleurs excellent ménage avec ces amplis d’ un autre temps.
Annoncé comme un poil plus puissant que son ancêtre l’ AU-555 tout court premier du nom de première génération, l’ AU-555A est donné par le constructeur pour une puissance de 2 x 25 Watts efficaces sous 8 Ohms. Pourtant la tension d’ alimentation dans l’ AU-555 est déjà de + 54V contre seulement + 56V dans l’ AU-555A, ce qui est fort comparable finalement pour une puissance annoncée plus différenciée : 2 x 20 vs 2 x 25 ! Il y aurait donc d’ autres paramètres qui entreraient en ligne de compte … ou déjà les constructeurs commençaient ils déjà à annoncer plus facilement des Watts ?
Voici ci-dessous la plaquette commerciale d’ époque en anglais, avec les principales caractéristiques et autres arguments de vente …
L’ AU-555A appartient dans mon esprit à la seconde génération d’ intégrés transistorisés de la marque, avec les AU-666 et AU-888. Toutefois son étage de puissance, comme ses ancêtres AU-222, AU-555, et AU-777, reste à couplage capacitif. C’ est à dire que son alimentation est simple, + 56V par rapport à la masse, et donc au milieu du push-pull de transistors de puissance ( toujours rencontré que des Hitachi 2SC1030 dans les AU-555A ) l’ on récupère une petite moitié de cette tension, qu’ il convient d’ éliminer pour pouvoir y raccorder une enceinte, ce sera le rôle du gros condensateur de sortie : éliminer la tension continue et conduire le signal alternatif, la musique, vers l’ enceinte. Cette conception capacitive montre des limites aux fréquences extrêmes, avec des signaux carrés fortement déformés dans l’ extrême grave, des temps de montée plus longs aux fréquences extrêmes aigues … oui, mais qu’ en est il à l’ écoute ? Et bien cela à défaut d’offrir la meilleure dynamique, ou la meilleure articulation dans le bas, donne une grande chaleur à la restitution, avec de la matière, de la fluidité, ce qui conviendra mieux à des enceintes claires, rapides, et à bon rendement, comme d’ une manière générale les Cabasse, les Klipsch, les Altec, les HPs large bande tel le Supravox, les Fertin … m’ enfin j’ ai aussi été surpris récemment en préférant un AU-555A à un AU-999 sur une paire de clones de Rogers LS3/5A au rendement quasi catastrophique !
En interne, l' on retrouve quelques similitudes architecturales avec son ainé l' AU-555 premier du nom : capots de blindage pour la section préampli à l' avant et pour les entrées/sorties bas niveau à l' arrière, face arrière aluminium profilée servant aussi de dissipateur thermique aux transistors de puissance, carte Phono au plus près du sélecteur de source, transfo blindé, 4 condensateurs de filtrage comme sous dimensionnés montés sur colliers, carte ampli en position centrale ... mais les similitudes s' arrêtent là : bien que proches, le schéma des circuits, que ce soit étage Phono, préampli, ou ampli, sont différents.
A suivre …
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Modifié en dernier par Sampan310 le 16 juil. 2017, 19:58, modifié 1 fois.
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Re: Sansui AU-555A
A noter que si ci dessus, un exemplaire du début de la production possédait des condensateurs électrochimiques d' origine Elna en chemise grise, les exemplaires plus tardifs étaient montés avec de plus en plus de Nichicon en robes noires pour les plus gros, et bleues pour les plus petits. Aussi les transistors de la carte ampli, à la base les célèbres soucoupes réputées pour des problèmes de fiabilité ( je n' ai jamais rencontré de souci avec elles !! ) CDC8002 et CDC 9002, cèdent leur place à des transistors Sanyo 2SC875E et 2SA532E en boitiers métalliques au fil de la production de l' AU-555A.
Mais comme je trouve qu' après 45 ans, ces amplis sont au mieux anémiques, mous à souhait, ternes en terme d' ouverture, avec une bande passante étriquée, et souvent se mettent à crachouiller inopinément au fil des écoutes : les exemplaires qui passent par ici ne repartent pas indemnes, mème lorsque leurs condensateurs électrochimiques paraissent encore valides aux mesures, ils passent tous un sérieux séjour sur la table de tortures. En voilà un qui s' y installe pour ce lifting de la quarantaine.
Entre autres face avant et boutons sont pour le moins crasseux, c' est l' heure de jouer un peu la femme de ménage ...
J' utilise souvent le dentifrice, la brosse à ongles, et l' huile de coude, pour effacer les taches de la face avant, puis du Carolin pour les boutons, et ça a tout de suite une autre présentation.
Pour ce qui est de l' alimentation : je remplace les 4 condensateurs électrochimiques de filtrages sur colliers : le principal de 2200µF ( quelle réserve d' énergie ! ), et les 3 pour les alimentations préampli et étage Phono en 470 et 1000µF , les diodes de redressement que je surdimensionne ( de 1 à 3A ), et le connecteur secteur.
Pour les éventuelles adaptation de diamètre entre les colliers et les nouvelles capacités, je découpe des lanière de lino à fond liège, c' est très pratique et une fois serré : on peux sans souci soulever l' appareil par le condo, ça tiens très très bien en sus d' un comportement antivibratoire, de surcroit je trouve cette solution propre.
Quand aux soudures, je préfère comme le faisais Sansui : enrouler les fils de connexions et autres pattes de résistances autour des pattes des condos avant de souder.
A suivre ...
Frédérick.
Mais comme je trouve qu' après 45 ans, ces amplis sont au mieux anémiques, mous à souhait, ternes en terme d' ouverture, avec une bande passante étriquée, et souvent se mettent à crachouiller inopinément au fil des écoutes : les exemplaires qui passent par ici ne repartent pas indemnes, mème lorsque leurs condensateurs électrochimiques paraissent encore valides aux mesures, ils passent tous un sérieux séjour sur la table de tortures. En voilà un qui s' y installe pour ce lifting de la quarantaine.
Entre autres face avant et boutons sont pour le moins crasseux, c' est l' heure de jouer un peu la femme de ménage ...
J' utilise souvent le dentifrice, la brosse à ongles, et l' huile de coude, pour effacer les taches de la face avant, puis du Carolin pour les boutons, et ça a tout de suite une autre présentation.
Pour ce qui est de l' alimentation : je remplace les 4 condensateurs électrochimiques de filtrages sur colliers : le principal de 2200µF ( quelle réserve d' énergie ! ), et les 3 pour les alimentations préampli et étage Phono en 470 et 1000µF , les diodes de redressement que je surdimensionne ( de 1 à 3A ), et le connecteur secteur.
Pour les éventuelles adaptation de diamètre entre les colliers et les nouvelles capacités, je découpe des lanière de lino à fond liège, c' est très pratique et une fois serré : on peux sans souci soulever l' appareil par le condo, ça tiens très très bien en sus d' un comportement antivibratoire, de surcroit je trouve cette solution propre.
Quand aux soudures, je préfère comme le faisais Sansui : enrouler les fils de connexions et autres pattes de résistances autour des pattes des condos avant de souder.
A suivre ...
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Modifié en dernier par Sampan310 le 16 juil. 2017, 21:43, modifié 4 fois.
- Sampan310
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Re: Sansui AU-555A
Les gros chimiques de 45 ans d' age, sont bon pour aller au rebus ceux là !
Ensuite, et dans l' ordre du trajet du signal :
Révision de la carte Phono F-1267, très facile à enlever puisqu' enfichée sur un connecteur linéaire bleu dont il convient de nettoyer soigneusement les contacts, avec au programme remplacement de condensateurs et des transistors. D' ailleurs pourquoi ne pas utiliser des modèles polyester plutôt que des chimiques sur le trajet du signal ? C' est ce que je fais avec des Wima MKS-2 et MKS-4 polyester, à l' ESR bien plus faible, qui vieillissent moins, sont bipolaires de toute façon, et sonnent bien mieux. Et puis tant qu' à y être autant utiliser des transistors faible bruit et les apparier en gain, ici des Toshiba 2SC2240.
Travaux sur la carte préampli F-1272-1, qui est maintenue par seulement 2 vis et raccordée par un connecteur façon tube octal, vachement pratique pour intervenir. Idem : remplacement des transistors et des condensateurs chimiques.
Et pour finir : remise à niveau de la carte ampli de puissance F-1266-1, avec changement de condensateurs et des transistors d' entrée.
Après avoir ôté les composants que je souhaite remplacer, l' on vois bien que le pas des condensateurs de sortie en 1500µF des anciens condos ne correspond pas aux nouveaux et les trous sur la carte sont bien trop espacés ...
... alors je reperce la carte au bon pas et n' ai plus qu' à plier les pattes des nouvelles capacités pour aller les souder au circuit imprimé.
Et voici la carte ampli revue :
A suivre ...
Frédérick.
Ensuite, et dans l' ordre du trajet du signal :
Révision de la carte Phono F-1267, très facile à enlever puisqu' enfichée sur un connecteur linéaire bleu dont il convient de nettoyer soigneusement les contacts, avec au programme remplacement de condensateurs et des transistors. D' ailleurs pourquoi ne pas utiliser des modèles polyester plutôt que des chimiques sur le trajet du signal ? C' est ce que je fais avec des Wima MKS-2 et MKS-4 polyester, à l' ESR bien plus faible, qui vieillissent moins, sont bipolaires de toute façon, et sonnent bien mieux. Et puis tant qu' à y être autant utiliser des transistors faible bruit et les apparier en gain, ici des Toshiba 2SC2240.
Travaux sur la carte préampli F-1272-1, qui est maintenue par seulement 2 vis et raccordée par un connecteur façon tube octal, vachement pratique pour intervenir. Idem : remplacement des transistors et des condensateurs chimiques.
Et pour finir : remise à niveau de la carte ampli de puissance F-1266-1, avec changement de condensateurs et des transistors d' entrée.
Après avoir ôté les composants que je souhaite remplacer, l' on vois bien que le pas des condensateurs de sortie en 1500µF des anciens condos ne correspond pas aux nouveaux et les trous sur la carte sont bien trop espacés ...
... alors je reperce la carte au bon pas et n' ai plus qu' à plier les pattes des nouvelles capacités pour aller les souder au circuit imprimé.
Et voici la carte ampli revue :
A suivre ...
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Modifié en dernier par Sampan310 le 16 juil. 2017, 22:46, modifié 7 fois.
- Sampan310
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Re: Sansui AU-555A
Il ne reste qu' à régler les courants de polarisation en insérant l' ampèremètre à la place des fusibles rapides que l' on trouve situés sous l' appareil entre les transistors de puissance ...
... et à caler les points milieux des push-pulls à l' oscilloscope pour que l' écrêtage opère simultanément en haut et en bas de la sinusoïde.
Puis je remonte le tout et commence à écouter ...
... après restauration, l' appareil voit sa sonorité changer sensiblement pendant la première dizaine d' heures, ensuite le rodage des nouveaux composants continue doucement et le plein potentiel musical ne sera atteint qu' après environ une centaine d' heures d' écoutes.
Si je peux me permettre de vous donner un petit conseil : ne lésinez pas sur la qualité des composants, car leur choix conditionne dans de grandes latitudes les résultats musicaux obtenus. Et je vous promets que quand ce choix est judicieux, l' ampli Sansui AU-555A est vraiment une petite bombe de musicalité mème s' il a évidemment des limites !!!
Frédérick.
Modifié en dernier par Sampan310 le 16 juil. 2017, 23:09, modifié 1 fois.
Re: Sansui AU-555A
ces compléments d'info me conviennent tout à fait.
Merci Frédérick.
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Re: Sansui AU-555A
Merci Frédérick,
Sur les deux images ci-dessous (les tiennes de la page précédentes).
Si j'ai bonne mémoire le premier boitier accompagnait les amplis destinés au marché mondial excepté l'Europe et la seconde les amplis du marché Européen, par contre je crois qu'il y avait également d'autres
particularités sur l'interrupteur marche arrêt et d'autres bricoles.
Les as-tu en tête ?
Edit : je suis très attentif quand je m'y mets, le mien est un marché Européen :
Différences avec celui que tu as présenté :
Les fusibles internes sur l'européen, différents du global et le mien n'a pas de sortie arrière pour raccorder un autre appareil alors que j'en ai vu passer avec deux sorties.
Extrait d'une photo de la première page
Sur les deux images ci-dessous (les tiennes de la page précédentes).
Si j'ai bonne mémoire le premier boitier accompagnait les amplis destinés au marché mondial excepté l'Europe et la seconde les amplis du marché Européen, par contre je crois qu'il y avait également d'autres
particularités sur l'interrupteur marche arrêt et d'autres bricoles.
Les as-tu en tête ?
Edit : je suis très attentif quand je m'y mets, le mien est un marché Européen :
Différences avec celui que tu as présenté :
Les fusibles internes sur l'européen, différents du global et le mien n'a pas de sortie arrière pour raccorder un autre appareil alors que j'en ai vu passer avec deux sorties.
Extrait d'une photo de la première page
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Eric
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Re: Sansui AU-555A
Oui, je vois bien les 3 fusibles supplémentaires implantés dessous la carte ampli sur une petite patère de déport fixée au châssis.
Il y a aussi 2 capacités de découplage de 2,2 µF installées sous la carte ampli et reliées au châssis qui ne sont pas présentes sur les autres versions.
Et oui c' est vrai, l' interrupteur de mise sous tension a existé de diverses versions, mais je ne saurai pas faire de généralité sur quel modèle possède quelle version d' inter, je crois qu' il est plus à ce sujet question de génération que de version, un peu comme pour la marque des condos ou le modèle de certains transistors comme j' en ai parlé à la page précédente.
Frédérick.
Il y a aussi 2 capacités de découplage de 2,2 µF installées sous la carte ampli et reliées au châssis qui ne sont pas présentes sur les autres versions.
Et oui c' est vrai, l' interrupteur de mise sous tension a existé de diverses versions, mais je ne saurai pas faire de généralité sur quel modèle possède quelle version d' inter, je crois qu' il est plus à ce sujet question de génération que de version, un peu comme pour la marque des condos ou le modèle de certains transistors comme j' en ai parlé à la page précédente.
Frédérick.
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