Mission Cyrus One Le sujet est résolu
Modérateur : GwiR
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Mission Cyrus One
Bonjour,
Après les Cyrus Two, voici la série des Cyrus One,
Ils ont été produits pendant 8 ans sous trois versions, parfois déclinées, ça va être un peu long !
En 1985 si vous vouliez en acquérir un il vous fallait débourser la somme de 5000 Francs.
La production commence en mai 1984 et s’arrête en septembre 1992.
Le décibel d'honneur attribué au Cyrus One par la NRDS en février 1985
Banc d'essai publié par la NRDS, n°116, mars 1988
Banc d'essai Cyrus One + Tuner, n° 140, sept 1990
Les Cyrus One (et Two) sont issus de la refonte du circuit du "Mission Cambridge 778" produit jusqu'en 1980.
Mission Cambridge 778
Le « One » a été produit en parallèle du Cyrus « Two », plus puissant et doté d’une alimentation séparée optionnelle présentés ici : [urlviewtopic.php?f=5&t=90]Cyrus Two[/url]
Le One a été décliné en trois versions seulement mais les versions 1 (Issue 06) et 2 (Issue 07) ont connu des modifications (qui n’apparaissent pas forcément dans le manuel de service)
Avec un format minimaliste et une façade de 21,5 cm de large vous n’avez droit à rien de plus que deux sélecteurs de sources et un bouton « volume ». Les premiers étaient même dépourvus de balance (Apparue avec la version 2).
Particularité : les premiers produits avaient une prise casque sur le panneau arrière.
Aucun système de coupure des sorties enceintes n’étant présent, il fallait débrancher les enceintes pour les écoutes au casque.
Par la suite, une partie seulement des des exemplaires de la seconde version a été pourvue d’une prise casque en façade.
Une led rouge, un bouton de contrôle du volume en façade, un sélecteur de sources et un sélecteur d'enregistrement et pas plus.
L'ampli en chiffres :
Quelques repères pour commencer :
Comment reconnaitre votre Cyrus 1 ?
- Première version nommée : 06
Production : De mai 1984 à octobre 1987
Boitier plastique, couleur unique : gris anthracite, base en acier (tôle embouties), un radiateur en tôle remplacé sur les derniers par un radiateur en aluminium sur le quel était insérée une barre en alu qui supportait les transistors de puissance.
Électronique : Circuit imprimé en bakélite avec pistes apparentes pour les tous premiers, remplacé par un circuit en verre époxy dès 1984.
Les exemplaires disposant d’un circuit en bakélite sont donc assez rares.
Le transformateur à une puissance apparente de 150 VA
Tension des secondaires après redressement : +/- 30 VDC sur la section amplification et 18 VDC régulés sur la partie préampli.
Capacité de filtrage assurée par deux condensateurs de 6800 uF
Seconde et troisième versions :
Couleurs : les modèles en aciers sont gris mat, les modèles en fonte d’aluminium sont noirs.
Tensions aux secondaires abaissée à 22V (contre 23V pour les premiers transfos) et +/- 30 V après redressement sur la section amplification et 18 V régulés sur la partie préampli.
- Seconde version : 07 :
Production : De décembre 1987 à juin 1989
Boitier : Interrupteur à poussoir. Il y a eu plusieurs déclinaisons mais l'inter reste à poussoir.
Le bouton de mise sous tension est placé à droite de la façade et l’interrupteur est sur le circuit à gauche de la façade avec un système de renvoi derrière la façade.
Le châssis est en fonte d'aluminium et le capot en acier pour les premiers exemplaires.
L’acier utilisé pour les capots était tellement imparfait que si vous souhaitez le repeindre, préparez le mastic pour boucher les nombreuses imperfections de fonderie.
Les derniers ont un capot en aluminium.
- Troisième version : Tog pour « Toggle Switch » = interrupteur à bascule.
Production : De mai 1989 à septembre 1992
Boitier et châssis en fonte d’aluminium.
Radiateur en fonte d'aluminium coulé dans la masse avec le châssis
Place aux images, identification des trois versions de Cyrus One :
Pour les différencier :
Dans l'ordre : 06; 07; Tog
Châssis en tôle, boitier plastique et inter à poussoir
Le premier facilement reconnaissable, il emprunte le bouton de mise sous tension des derniers 778
Après quelques problèmes dus à la fragilité du boitier et la fiabilité du bouton poussoir, correction de tir
Notez les renforts sur l'arrière du boitier.
Après les Cyrus Two, voici la série des Cyrus One,
Ils ont été produits pendant 8 ans sous trois versions, parfois déclinées, ça va être un peu long !
En 1985 si vous vouliez en acquérir un il vous fallait débourser la somme de 5000 Francs.
La production commence en mai 1984 et s’arrête en septembre 1992.
Le décibel d'honneur attribué au Cyrus One par la NRDS en février 1985
Banc d'essai publié par la NRDS, n°116, mars 1988
Banc d'essai Cyrus One + Tuner, n° 140, sept 1990
Les Cyrus One (et Two) sont issus de la refonte du circuit du "Mission Cambridge 778" produit jusqu'en 1980.
Mission Cambridge 778
Le « One » a été produit en parallèle du Cyrus « Two », plus puissant et doté d’une alimentation séparée optionnelle présentés ici : [urlviewtopic.php?f=5&t=90]Cyrus Two[/url]
Le One a été décliné en trois versions seulement mais les versions 1 (Issue 06) et 2 (Issue 07) ont connu des modifications (qui n’apparaissent pas forcément dans le manuel de service)
Avec un format minimaliste et une façade de 21,5 cm de large vous n’avez droit à rien de plus que deux sélecteurs de sources et un bouton « volume ». Les premiers étaient même dépourvus de balance (Apparue avec la version 2).
Particularité : les premiers produits avaient une prise casque sur le panneau arrière.
Aucun système de coupure des sorties enceintes n’étant présent, il fallait débrancher les enceintes pour les écoutes au casque.
Par la suite, une partie seulement des des exemplaires de la seconde version a été pourvue d’une prise casque en façade.
Une led rouge, un bouton de contrôle du volume en façade, un sélecteur de sources et un sélecteur d'enregistrement et pas plus.
L'ampli en chiffres :
Quelques repères pour commencer :
Comment reconnaitre votre Cyrus 1 ?
- Première version nommée : 06
Production : De mai 1984 à octobre 1987
Boitier plastique, couleur unique : gris anthracite, base en acier (tôle embouties), un radiateur en tôle remplacé sur les derniers par un radiateur en aluminium sur le quel était insérée une barre en alu qui supportait les transistors de puissance.
Électronique : Circuit imprimé en bakélite avec pistes apparentes pour les tous premiers, remplacé par un circuit en verre époxy dès 1984.
Les exemplaires disposant d’un circuit en bakélite sont donc assez rares.
Le transformateur à une puissance apparente de 150 VA
Tension des secondaires après redressement : +/- 30 VDC sur la section amplification et 18 VDC régulés sur la partie préampli.
Capacité de filtrage assurée par deux condensateurs de 6800 uF
Seconde et troisième versions :
Couleurs : les modèles en aciers sont gris mat, les modèles en fonte d’aluminium sont noirs.
Tensions aux secondaires abaissée à 22V (contre 23V pour les premiers transfos) et +/- 30 V après redressement sur la section amplification et 18 V régulés sur la partie préampli.
- Seconde version : 07 :
Production : De décembre 1987 à juin 1989
Boitier : Interrupteur à poussoir. Il y a eu plusieurs déclinaisons mais l'inter reste à poussoir.
Le bouton de mise sous tension est placé à droite de la façade et l’interrupteur est sur le circuit à gauche de la façade avec un système de renvoi derrière la façade.
Le châssis est en fonte d'aluminium et le capot en acier pour les premiers exemplaires.
L’acier utilisé pour les capots était tellement imparfait que si vous souhaitez le repeindre, préparez le mastic pour boucher les nombreuses imperfections de fonderie.
Les derniers ont un capot en aluminium.
- Troisième version : Tog pour « Toggle Switch » = interrupteur à bascule.
Production : De mai 1989 à septembre 1992
Boitier et châssis en fonte d’aluminium.
Radiateur en fonte d'aluminium coulé dans la masse avec le châssis
Place aux images, identification des trois versions de Cyrus One :
Pour les différencier :
Dans l'ordre : 06; 07; Tog
Châssis en tôle, boitier plastique et inter à poussoir
Le premier facilement reconnaissable, il emprunte le bouton de mise sous tension des derniers 778
Après quelques problèmes dus à la fragilité du boitier et la fiabilité du bouton poussoir, correction de tir
Notez les renforts sur l'arrière du boitier.
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Eric
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Re: Mission Cyrus One
Cyrus One REV 07
Châssis en fonte d'aluminium, capot tôle et bouton poussoir qui agit sur l’interrupteur placé à l’opposé dur le circuit via une tringle de renvoi. Bouton à droite, inter à gauche près du potentiomètre de volume.
Sorti en gris avec une peinture affreusement fragile qui de résiste pas à l'eau et encore moins au temps
Cyrus One Tog :
En gris affreux et fragile :
En noir plus costaud :
D'origine la led est rouge, j'en ai posé une bleue pour le distinguer d'un autre :
Châssis en fonte d'aluminium, capot tôle et bouton poussoir qui agit sur l’interrupteur placé à l’opposé dur le circuit via une tringle de renvoi. Bouton à droite, inter à gauche près du potentiomètre de volume.
Sorti en gris avec une peinture affreusement fragile qui de résiste pas à l'eau et encore moins au temps
Cyrus One Tog :
En gris affreux et fragile :
En noir plus costaud :
D'origine la led est rouge, j'en ai posé une bleue pour le distinguer d'un autre :
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Re: Mission Cyrus One
A l'intérieur :
REV 06
Les premiers possèdent un circuit en bakélite :
La dissipation de la chaleur confiée à un bloc en alu
Condo polystyrène ancienne génération
REV 07 et TOG
Bakélite très vite remplacée par la résine de verre-époxy
Apparition d'un radiateur en alu (en fait un bout d'alu cintré)
Nouveau condos à films
Sous les composants, c'est compact :
Avec la REV 06 apparition d'un balance
Zoom sur la partie régulée et le potentiomètre
Le filtrage avec 2 x 700uF
Les réglages que je trouve optimaux (le manuel annonce 8 à 20mV)
REV 06
Les premiers possèdent un circuit en bakélite :
La dissipation de la chaleur confiée à un bloc en alu
Condo polystyrène ancienne génération
REV 07 et TOG
Bakélite très vite remplacée par la résine de verre-époxy
Apparition d'un radiateur en alu (en fait un bout d'alu cintré)
Nouveau condos à films
Sous les composants, c'est compact :
Avec la REV 06 apparition d'un balance
Zoom sur la partie régulée et le potentiomètre
Le filtrage avec 2 x 700uF
Les réglages que je trouve optimaux (le manuel annonce 8 à 20mV)
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Re: Mission Cyrus One
A l'écoute :
J'utilise le petit One avec une paire d'enceintes Quad 12L ou Elipson Studion pro, je l'adore avec l'une et l'autre.
Avec les Quad c'est percutant, très sec, avec les Elipson d'une musicalité que je trouve excellente.
En source je trouve qu'il s'associe avec à peu près tout.
Quand ils sont restaurés, ces amplis reproduisent la musique avec foule de détails et, contrairement au Two, sont plus analytiques que chaleureux, d'où l'intérêt de bien les associer.
La limite est la réserve de puissance qui peut s'avérer assez vite insuffisante avec des enceintes gourmandes ou dans une pièce trop grande.
Mais avant de le saturer vous serez sorti de la pièce, il y a quand même du volume.
La scène sonore est bonne mais se dégrade si on lui en demande trop dans les conditions (pièces et enceintes) citées plus haut.
Du côté de la maintenance, il y a pas mal de composants qui vieillissent systématiquement très mal.
Sont touchés des condensateurs (sauf ceux de filtrage) diodes et transistors.
C'est tellement récurrent que je pense que les composants étaient de mauvaise facture.
Les pannes fréquentes :
Voici celles qui me viennent à l'esprit, je compléterai après.
Tous modèles :
En cas de non mise sous tension, penser à vérifier le fusible secteur logé dans la prise IEC
- Condensateurs chimiques du circuit de régulation HS (c'est lui qui travaille me plus longtemps, il est constamment sous tension, que l'inter soit sur ON ou sur OFF)
- Chimiques de l'étage de puissance HS
- Panne au niveau de la partie puissance, une voie muette après qu'un transistor lâche et entraine avec lui quelques transistors, diodes et résistances.
- Panne de transfo, très exceptionnelle, cela doit représenter de l'ordre de 3 % des Cyrus et PSX révisés ou réparés.
- Les fusibles 4A posés sur les premiers modèles sont surdimensionnés et les surtensions finissent par avoir raison de l'étage de puissance :
Solution : les remplacer par des 3.15A, c'est le meilleurs compromis.
Côté désagréments :
- L'espèce de peinture gris-mat de type "militaire" est poreuse, se tache et se marque puis s'écaille.
- Les trois types d'interrupteurs (06,07, Tog) finissent par lâcher.
Spécifiques REV 07 :
- 2 transistors de l'étage RIAA HS
- Problème de circuit imprimé brûlé et perte de la led de mise sous tension (sous-dimensionnement des résistances chutrices) :
solution : déporter le circuit led hors du circuit et opter pour des résistances de 2 à 3W
- Tringle de renvoi du bouton poussoir de mise sous tension à l'interrupteur du circuit cassée ou voilée : Empêche d'allumer ou éteindre l'ampli.
Spécifique Tog :
Casse de l'interrupteur de mise sous et hors tension. Soit le levier casse, soit les pattes interne lâchent et l'inter n'est plus opérationnel.
C'est le modèle le plus récent en terme de boitier et le mieux optimisé.
Pannes alimentations :
Les capas de filtrage finissent par être hors normes et à remplacer ou alors étaient de mauvaise qualité et au delà des tolérances annoncées.
Panne de transfo rencontrée uniquement sur la rev 06
Pour le plaisir je replace ici le sauvetage d'un ampli qui avait beaucoup souffert.
Il s'agit de l'un des premiers produits.
Je l'ai restauré parce que ce sont ceux que je préfère :
Les premiers constats :
En plus des composants rincés il avait reçu quelques chocs, subi quelques chutes
Voyez par vous même (avec le zoom c'est plus flagrant) :
Des pistes coupées et des morceaux manquants
J'utilise le petit One avec une paire d'enceintes Quad 12L ou Elipson Studion pro, je l'adore avec l'une et l'autre.
Avec les Quad c'est percutant, très sec, avec les Elipson d'une musicalité que je trouve excellente.
En source je trouve qu'il s'associe avec à peu près tout.
Quand ils sont restaurés, ces amplis reproduisent la musique avec foule de détails et, contrairement au Two, sont plus analytiques que chaleureux, d'où l'intérêt de bien les associer.
La limite est la réserve de puissance qui peut s'avérer assez vite insuffisante avec des enceintes gourmandes ou dans une pièce trop grande.
Mais avant de le saturer vous serez sorti de la pièce, il y a quand même du volume.
La scène sonore est bonne mais se dégrade si on lui en demande trop dans les conditions (pièces et enceintes) citées plus haut.
Du côté de la maintenance, il y a pas mal de composants qui vieillissent systématiquement très mal.
Sont touchés des condensateurs (sauf ceux de filtrage) diodes et transistors.
C'est tellement récurrent que je pense que les composants étaient de mauvaise facture.
Les pannes fréquentes :
Voici celles qui me viennent à l'esprit, je compléterai après.
Tous modèles :
En cas de non mise sous tension, penser à vérifier le fusible secteur logé dans la prise IEC
- Condensateurs chimiques du circuit de régulation HS (c'est lui qui travaille me plus longtemps, il est constamment sous tension, que l'inter soit sur ON ou sur OFF)
- Chimiques de l'étage de puissance HS
- Panne au niveau de la partie puissance, une voie muette après qu'un transistor lâche et entraine avec lui quelques transistors, diodes et résistances.
- Panne de transfo, très exceptionnelle, cela doit représenter de l'ordre de 3 % des Cyrus et PSX révisés ou réparés.
- Les fusibles 4A posés sur les premiers modèles sont surdimensionnés et les surtensions finissent par avoir raison de l'étage de puissance :
Solution : les remplacer par des 3.15A, c'est le meilleurs compromis.
Côté désagréments :
- L'espèce de peinture gris-mat de type "militaire" est poreuse, se tache et se marque puis s'écaille.
- Les trois types d'interrupteurs (06,07, Tog) finissent par lâcher.
Spécifiques REV 07 :
- 2 transistors de l'étage RIAA HS
- Problème de circuit imprimé brûlé et perte de la led de mise sous tension (sous-dimensionnement des résistances chutrices) :
solution : déporter le circuit led hors du circuit et opter pour des résistances de 2 à 3W
- Tringle de renvoi du bouton poussoir de mise sous tension à l'interrupteur du circuit cassée ou voilée : Empêche d'allumer ou éteindre l'ampli.
Spécifique Tog :
Casse de l'interrupteur de mise sous et hors tension. Soit le levier casse, soit les pattes interne lâchent et l'inter n'est plus opérationnel.
C'est le modèle le plus récent en terme de boitier et le mieux optimisé.
Pannes alimentations :
Les capas de filtrage finissent par être hors normes et à remplacer ou alors étaient de mauvaise qualité et au delà des tolérances annoncées.
Panne de transfo rencontrée uniquement sur la rev 06
Pour le plaisir je replace ici le sauvetage d'un ampli qui avait beaucoup souffert.
Il s'agit de l'un des premiers produits.
Je l'ai restauré parce que ce sont ceux que je préfère :
Les premiers constats :
En plus des composants rincés il avait reçu quelques chocs, subi quelques chutes
Voyez par vous même (avec le zoom c'est plus flagrant) :
Des pistes coupées et des morceaux manquants
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Re: Mission Cyrus One
Remèdes et solutions :
Fibre de verre, et résine :
Au préalable on perce des petits trous pour renforcer la jonction entre recto et verso :
Ponçage pour réduire l'épaisseur parce que j'en ai mis un peu trop et perçage des emplacements des borniers d'enceintes :
Fibre de verre, et résine :
Au préalable on perce des petits trous pour renforcer la jonction entre recto et verso :
Ponçage pour réduire l'épaisseur parce que j'en ai mis un peu trop et perçage des emplacements des borniers d'enceintes :
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Re: Mission Cyrus One
Suite du ponçage :
Câblage des pistes arrachées ou disparues
Pose des borniers et remise en place des composants :
Remplacement du potentiomètre qui n'avait pas résisté
Travail presque terminé, un gros nettoyage, démontage te désoxydation des commutateurs qui reçoivent quelques goutes d'huile de vaseline.
Le voilà prêt et en tests :
33 ans le petit, il se porte on ne peut mieux et il fait son travail de belle manière .
Je pourrais continuer avec d'autres mais j'en reste là pour ce soir
Câblage des pistes arrachées ou disparues
Pose des borniers et remise en place des composants :
Remplacement du potentiomètre qui n'avait pas résisté
Travail presque terminé, un gros nettoyage, démontage te désoxydation des commutateurs qui reçoivent quelques goutes d'huile de vaseline.
Le voilà prêt et en tests :
33 ans le petit, il se porte on ne peut mieux et il fait son travail de belle manière .
Je pourrais continuer avec d'autres mais j'en reste là pour ce soir
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Re: Mission Cyrus One
,
Waouh! Ça s'est du CR exhaustif ou je m'y connais pas... .
Chapeau bas
JP
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Chapeau bas
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Re: Mission Cyrus One
Musicalement ils le méritent ces Cyrus et ça fait tellement d'années que je les accumule que ça valait bien un petit CR.
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Re: Mission Cyrus One
Tu en possède combien? Je connais un peu les Cyrus et je sais qu'ils ont très bonne réputation .
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Re: Mission Cyrus One
Je pense avoir toutes les versions et variantes, ça doit représenter 25 ou 26 appareils (One et Two)
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